Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
lettresdumonde
11 juillet 2019

Les blasons de Sandy

Elle est extrêmement intéressante cette dame-là , nommée Sandy, mais comment peut-on se présenter avec pareil décolleté , Sandy est un décolleté, dans lequel les yeux à longueur d’entrevue tombent dedans comme un monomoteur en son Bermudes. C’est fabuleux, vertigineux et sans rappel. Il est large à n’en plus finir, telles les gorges du Verdon aux meilleures d’elle-même ou le delta de l’AA, de St Omer à Gravelines. C’est cette fameuse fissure entre les deux monstres qui est troublante mais Bon Dieu quelle est donc cette envie féroce d’y toucher là, d’y plonger là ! Sandy, quarante-trois ans habile NL°°°, elle a un 06 aussi, route de M et même y tremper la langue comme le Persan félin lape son lait. Oui, passer sa langue effectivement tout au long dans ce décolleté âgé de quarante-trois ans ! Si ses seins sont comme cela, je n’ose pas imaginer les possibilités sexuelles de son sexe féminin. Je dédierai moi aussi un poème au blason de Sandy mais peut-on véritablement établir un lien visible ou invisible, direct ou indirect entre les seins et le sexe ?

Bien sur le S est en commun, d’accord mais il faudrait le mettre à l’horizontal, le coucher pour voir. Alors on constate pour la fissure de Sandy qu’il faut un double S et pour le sexe ? il en faut mille pour les filets et puis une ouverture au milieu du virage pour voir dedans la beauté cadrée de son clitoris. Celui-ci peut-il être à l’avenant de la grosseur de sa généreuse poitrine. Je le demande à Sandy que pour l’instant je ne connais pas mais n’allons pas trop vite en besogne d’ailleurs: ses yeux sont verts. Je ne peux poser que la question de son sexe, pas plus ! Je reviens en voyage sur le contenu fascinant du soutien-gorge, caché à, peine par son polo (Il fait chaud). « Ils sont à vous ? » Demandais-je.  . « Oui pourquoi, ils vous plaisent ? ». « On peut le dire comme ça ! ». Dans le petit bureau aux couleurs pisseuses et dégueulasses ? Sandy lève les bras et par le haut ôte son polo qui accroche dangereusement ses formes proéminentes. Je l’aide un peu animé d’un altruisme beat. « Allez –y, dit-elle, ce sont mes préférées ! ». « Vous en avez d’autres ? ». Le polo est tombé malheureux à plat sur le carrelage à pois rouge et blanc, il pleure ses amis fidèles abandonnés. Sandy est nue, sa belle guitare est dans un coin, elle est venue pour sa première leçon,

P1000963 (2)

depuis son nombril jusqu’en haut de ses soyeux cheveux blonds. Tout est parfait ! Sur le bureau rien d’elle n’est posée, ses merveilles se tiennent fières, leurs aréoles bombées vous regardent doctement dans les yeux, téméraires. Elles sont installées tout en haut des jolis monts chauves d’une steppe russe. Si une fourmi regardait depuis la base du sentier qui mène au plaisir des zones érogènes principales, elle murmurerait « Gravir cela est impossible !». C’est vrai qu’ils sont majestueux, comme le pic du midi. Sandy a deux pics du midi aussi bien exposés côte adret qu’ubac  qui culmine au micron prêt à la même altitude. Ils sont tout simplement égaux. Dans la vallée dite fessier d’ombre, où nulle chute de tyrolienne n’éclos,  l’érotisme est à son point culminant. Les monts blancs s’écrivent au crayon gris et domine la vallée qui mène en aval à son sexe encore caché. La plaine blonde de ses sous-monts qui palissent bien la Natacha de Béranger, est un peu en retrait. De son joli ventre qui n’est pas forcément plat. Ici, ce n’est pas la Margeride en hiver Lozerois vers le lac Charpal gelé, il fait très bon. Les coussins, chers au petit chat de Margaux, sont naturels et si doux. Au centre de son ventre de bébé phoque, le volcan de son nombril, serré au cruciforme de sa naissance sans doute facile. Pourrait-on tomber aussi dans ce gouffre sensuel ? Oui mais par plaisir. Sandy ouvre ses grands yeux verts de Sara Sampaïo, l’actrice portugaise, l’émeraude vous claque un coup de fouet digne d’un dompteur de Bouglione sur tous vos sens qui en perdent le nord. Les yeux verts, les aréoles brunes, la vie est un mystère qui culbute nos certitudes, perce ses fleurs. Sandy est une orchidée sauvage mais pourtant elle continue derrière la vitre, à se déshabiller. Entre deux souffles elle pince les cordes de sa guitare. Elle prend son temps pour enlever le bas. Elle a mis une robe légère comme chez Cabrel avec de la belle lumière mais sans échelle, tapissée d’Iris bleus. Sa culotte s’écrase dans le vaste continent du négligé vers le polo pour laisser paraitre l’Absolu. Savez- vous lectrices, lecteurs ce qu’est l’Absolu. Bien sûr vous avez toutes et tous un absolu (nous en reparlerons…à l’inscription) mais cet Absolu-là devrait vous faire retourner dans vos maternelles en apprentissage où la glaise divine n’est pas encore prête pour la grande tribulation. Sandy, croyez-moi,  possède cet absolu. Déjà la haut ses lèvres roses,  sa langue rose, ses dents roses, ses joues roses de Charlize Thoron, sud-africaine en sa splendeur (44 ans), vous a laissé baba mais au premier étage, c’est bon vous connaissez l’affaire autant que nous mais alors le bas ! Comment vous dire ? Dans la terrible jongle au centre du motif, come quand Courbet a laissé tomber la tête, se profile en vis-à-vis les lippes verticales les plus sexuelles du monde connu. Sandy est montée sur le bureau comme Monica, ses bottillons ont valsé retrouvant le cimetière des objets perdus, raide, Son corps est en chair d’ange , il dans comme chez Mahfouz sur le Nil ou au Flandres-Liban rue des postes. La niche que je scrute, bouches ouvertes récapitulent en une phylogenèse rapide, des millénaires d’évolution de l’Origine du Monde. Son clitoris est encore en érection légère, comme un concorde au début de son envooooolée, jouant avec ses parois humides et ses annexes. On sent qu’il a plaisir et vent de grossesse, à montrer-rentrer-sortir sa frimousse femelle au travers de l’équateur anthropique. Sandy sourit de ses 43 ans et elle connait sur le bout de ses ovaires sa puissance de séduction. Je dois passer ma main sur ses jambes de Marlène rebondies, douceur éternel d’Eve sur le champ d’amour d’Adam, abricots et pêches réunis. Au-dessus du genou, tel une épaule de Sara Sampaïo se dessine ses jambes partie haute comme des joues tendues. Ma paume part du genou bossu doucement comme un Panda glissant sur son bambou, monte comme l’araignée Gypsi à sa gouttière sur ce repas grandiose fourni.  Sur cette chair d’ange au parfum de paradis, au mitan du voyage, la paume s’arrête veut sentir la vie dans sa Beauté battante (Elle respire la vie cette entre –jambe délicieuse, le parfum de la vie) le parfum de la femme, fille de la nuit du temps, ancré dans ce matériau-là. Et puis la paume reprend sa courbe, so happy, monte dans les hauteurs, prend de l’altitude ou l’oxygène se fait plus rare et ou la joie demeure. Ainsi parlait Zarathoustra au sexe du bonheur de sa petite Lou ! La paume touche sa toison rousse, on est si loin du sol, les poils se frisent et se défrisent en chantant la danse de la mer, les poissons clowns salés, la houle qui se déchaine et les lèvres qui apparaissent, se frottant de désir, là où maintenant son clitoris affiche sa puissance en dégainant ses huiles essentielles pour ma bouche en calice. Sandy jouit en position précoce,  à l’avenant de sa taille  , alors que rien encore n’est informé. Mais la lenteur, la danse des abeilles a produit son effet. Elle attrape mes lèvres comme un papillon dans son filet. Elle joue son Nabokov, en Lolita inversée de 43 ans serrant mes lèvres dans ses étaux de Brive. Ses lèvres belles et rouges en I de Rimbaud  qui peut bien pour l’heure aller se rhabiller avec ses voyelles jaunies .Sandy serre tous ces colliers, consciencieuse, de l’alpha à l’Oméga.et puis l’heure est terminée, la première leçon a finie sans un accord manqué, il faut quitter le panier et retourner à ses occupations….   

Publicité
Publicité
Commentaires
lettresdumonde
Publicité
Archives
Publicité