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lettresdumonde
9 juin 2018

Ma coloc va toute nue (63)

   Toutes les chaires se mélangeaient pour le bonheur de toutes. Madame Shiki Ô Wen se mit à mordre tous ces morceaux de reine. Elle enchainait les seins, les fesses, les seins, les fesses, les seins et puis les fesses pour terminer, en utilisant aussi sa longue chevelure noire pour fouetter le pubis grand ouvert de Tatiana. Adélaïde Océane, loin de Garonne et ses coteaux  avait ses marmandes qui rougissaient comme jamais, passant de l'orange au rouge vite fait à l'instar des sémaphores urbains. Pour elle pas besoin de jardinier nu et opiniâtre, ses aréoles étaient brunes et luisantes, les pointes étaient d’un rouge plus puissant que la place du même nom. Soudain, elle pensa à Nathalie, la fille de la chanson de Bécaud en éclaboussant de son huile chaude toutes ses partenaires qui n’en demandaient pas autant de douche à Trévise.

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Madame Shiki, de son côté, se mit à lécher, comme une persane féline toute cette liqueur féminine et non alcoolisée. Ce qui la mit au comble de la joie qui demeurait dans son psaume chrétien. La palette était complète quand ses trois pinceaux s’immiscèrent dans sa propre maison qui s’humidifiait le paillasson.

« Rentrez !  fit-elle, vous êtes toutes les bienvenues dans l’empire du milieu, regardez bien le fond de mon royaume Saké, vous y trouverez la joie de vivre et de naître du soleil levant qui darde ses rayons au cœur de mon utérus chinois qui, sur son dilhiz, invente depuis les belles lèvres roses rimbaldiennes et en I , aux abords du vagin sacré, porteur de dialogue, illumine de millions d’étoiles le désir ….   

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