Ma coloc va toute nue (19)
Fin août encore, avant la reprise, nous nous concentrons sur les objets de nos fascinations au point d'enclencher des strabismes tout azimut. Peut être la chaleur de 2016 , en cette fin d'été débordait, sur nos consciences pour les transformer, dégoulinantes, en sueurs suintant de nos corps respectifs. Les livres sont très loin de nous. Mais où poser les yeux sur cet univers fascinant ? Les romans sont des invitations aux voyages mais les pages en chairs fraîches que l'on peut tourner soi même, ravissent d'autant mieux. Chaque chemin est un mystère mais avant les parcours de la pulpe des doigts, les yeux émerveillés nourrissent leurs contents de joies énamourées.
Ce paysage, depuis les "origine(s)" du monde", fait vibrer mon cœur haletant ! ô ses jolies seins blancs, comme ceux d'une mère à Sardou, quelle beauté !
Aréoles des mames : tout est parfait ! Mes yeux se changent en marais sur les pointes des poulains, ses îles à mamours!
(Toutes ressemblances par la plume ou le stylographe avec des personnes réelles ou ayant traversés, seraient rencontre et épreuves de Hasard non numéroté !)