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lettresdumonde
18 septembre 2022

Anitta (2)

...Il buvait encore à l'abreuvoir bénie d' Anitta qui chantait WAP, son sexe, enchanté, suintait fontaine, saoûl de tant d'énergie dépensée...Il avait trouvé la plus belle chose que l'on puisse embrasser au monde : les seins d' Anitta, d'ailleurs qu'elle soit australienne ou en fleur. Il s'agenouillait devant la vibration, attrapait les tétons, la bouche affamée, les sentait se dresser tout en haut de la collette Renoir, les gardait au chaud sous ses dents et conspirait un désir de Cagnes qui ferait exploser les cadres et que rien ne pourrait arrêter. Ils fournissaient l'humidité au régime gratuit sur les nymphes boursoufflées.

   Ils avaient décider de partir vers le sud. Maintenant ils s'acheminaient dans le rêve qui partait en silence dans l'ombrelle de leur désir. Celui ci était un cable tendu qui se faufilait et sur les seins roses d'Anitta, roses comme les bonbons malabar d'autrefois, niché entres ses cuisses brunes. Anitta était belle comme une expérience factorielle de mai, un printemps élaboré avec des fleurs, juste la beauté accroupie en son domaine et dans son corps de femme, un parfum de chez Molinard. S'exhalait un antar doré et adoré. Son sexe doux et bon et fruité à gober au petit dejeuner quand ici, sur l'herbe, joue la complétude de l'absolue joie. Les seins d'Anitta ne jouaient pas au dé, le désir était désinhibé, ils offraient le chemin assuré vers elle, une allée fléchée par ses yeux et qu'elle qu'en soit la couleur évoluant continuellement sur le dos du temps...  

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