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lettresdumonde
23 septembre 2020

Les drôles de temps (1)

C’est vrai qu’il faudrait savoir mettre les mots sur ce que l’on éprouve car dans ce cas on pourrait trouver un accord entre nos objectifs explicités et nos désirs moteurs profonds, d’ailleurs il se pourrait bien que cela fasse du bien. Ainsi nous ferions traverser un élastique dans la pyramide de Maslow de 1943 qui deviendrait plutôt une sorte de serpent circulaire entre tous les besoins. Bien sûr nous savons que Camille Claudel était comme Dali un enfant de remplacement et qu'elle était fort douée pour dessiner les mains et les pieds mais nous ne savons pas encore très bien quelle est la métaphore du covid. Il faudrait expliquer la philosophie aux enfants et puis tirer la leçon des ténèbres quand Takeshi Sakurai de l’université de Tsukuba au japon montre qu’une colonie de neurones q activés peut plonger un mammifère dans un état de quasi-hibernation.  Evidement l’aigle noir de Barbara a glissé dans sa main son cou. II reste que dans toute question, comme disait le père Sartre, on se tient en face d’un être que nous interrogeons. Il serait bon que de temps à autre une réponse débarque ! Mais quel est donc l’être du covid, le néant ne serait il point la possibilité du non -être ? il faut attacher la fragilité au cou de la force. Bucky Cantor de Roth à l’instar d’Heidegger a du mal avec la contingence et le hasard, il mange du pourquoi comme la vache de Nietzsche rumine, il est bien difficile de monter sur une montagne. Il faut prendre soin de notre myéline car c’est elle qui dit la vitesse et peut être à la fontaine de l’Hippocrène quelques poètes ont-ils été allaité par l’inspiration ! « Je » n’est-il point les liens que je tisse où git le bonheur ? Une femme prix Nobel d’économie, Esther Duflo, c’est formidable mais tard en 2019 ! Peut-être sommes-nous encore parti pour une drôle d’année avec tous ces protocoles de fou où l’amour se mesure à la distance. Nous vidons des maisons ! Bien sûr en septembre on peut faire de la confiture de mûres. Bien que nous ne sachions plus croire, il arrive parfois la sidération et puis la résistance. Dubet me fait sourire, voilà trente ans qu’il dit pareil et pourtant il a encore raison ! Le clown qui aimerait que l’on vienne flotter avec lui parle d’ensauvagement mais ça n’est rien d’autre qu’une projection à la web school Company. Charlie a commencé aujourd’hui et Banier fait des photos, je préfère « la puissance des mères » d’Ouassak ! Croyez-vous qu’il soit si simple de porter la vie, de se réapproprier sa puissance après la dépression ? Et puis la jeunesse est un risque à courir. Il faut être prêt à souffrir pour être prêt à vivre ! D’ailleurs un objet parfait ne peut pas être beau, n’est-ce pas mes japonais ! Bien sûr il y a l ‘amour de la vie de Jack London et puis Jospin...Nous voyons ce que tout le monde a vu mais n’a pas forcément pensé !

100 milliards c’est tout de même beaucoup mais pourquoi donc les cétacés s’échouent ? Les rhizomes brûlent, Deleuze ne voulait pas être enfermé dans son corps pas plus que dans tic- toc...y’a quelqu’un ? Dieu n’a pas la manière comme disait Brel, nous pourrions bien aller pleurer car avec leur connerie les adultes ne feraient-ils bien encore une guerre ? « Essayer de conditionner les aides correspond à une vision centralisée de l’économie qui ne fonctionne pas » dit le Roux de Baisieux (Belgique) mais de l’état centralisé il veut bien son argent ! Bourgtheroulde ! A la lueur tendue de ses yeux mon amour caresse ton désir. Les vieux arbres sont nos parents et la Madone sixtine de Raphaël est vraiment jolie. Ô Galatie ma nymphe amoureuse ! il y a un art de perdre dit Alice Zeniter. En Arabie Saoudite il y a des camps anti-covid horrible tandis que Darmanin refuse que l’on donne à manger à des enfants à Calais...

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