Emmanuel Georges macron de Pompidou (30)

 Emmanuel Georges macron de Pompidou, le président des très riches, des très très riches et des ultras riches a encore frappé. Catastrophique ! La France est dans un état catastrophique ! L’ennuyeux aujourd'hui c'est que personne n'arrive plus à voir une issu à cette catastrophe annoncée depuis minimum 12 ans. Et nous y sommes !

Chaque « roi fainéant » a ajouté sa couche et l’incurie un peu comme à Marseille, a continué de plus belle - tout s’effondrait- pendant que l’élite défaillante s’en mettait plein les poches.

Non, soyons clairs, les ultrariches ne sont pas encore entrés dans la réforme et pourtant Justice voulait que l’on commence par-là ! C'était si simple, le bon exemple!

 Lui, il a pris le taureau par les cornes, en ajoutant sa propre banderille violente, 2 ans de martyr, en marche vers la Précarité Délirante Généralisée (comme en Amérique...), le sauvagisme. Et nous voyons bien que le niveau de violence peut encore monter, d’ailleurs n’a-t-elle point payée ?

 Et le corps social était déjà dans un tel état !

Comment sortir de là maintenant : tout le monde veut tant et plus ? S’il n’y avait que les hôpitaux (qui depuis 10 ans annonçait la catastrophe !). Reprendre la dette, suffisant ? jamais !

Nous avons une liste, longue comme le bras, de tous les problèmes.

 (Lui il dira facilement que les français sont trop négatif sur eux mêmes et il mépriser une jeune étudiante )

Personne ne voit de solutions !

Et puis il y a cette facheuse tendance dans cette ère moderne à prendre tous les problèmes par le chiffre, par l'argent. Lemaire et Darmanin commandent. Ce ne sont plus des Humains que l'on regarde la haut mais des tableaux. Des tableaux qui ne disent rien du réel, de la couleur des larmes, des crises de nerfs et des suicides, quelle vertige ! 

Il fallait que l'on se retrouve : les politiques n'avaient rien compris.Et, s'ils ont compris peut être est-il trop tard. Ou sont les solutions ?

Le monde craque de partout et la Nature nous accompagne !

"Brigitte, mon amour, que dois-je faire ? Toi qui était professeure et quelle professeure et qui gérait si bien ta classe, te souviens-tu de nos premirers baisers, que dois-je faire, tu sais que je ne sais pas faire mais j'ai toujours voulu qu'on m'aime"

"Je vois tant de haine aujourd'hui, je ne sais plus, je ne vois plus de classe, je crois que l'affaire est perdue, viens j'ai la tentation de Venise ou de Québec ..."