Les soeurs Infocom
accoudées instables dans la même paroi utérine et bouclé de la Vérité
Elles sont jouées avec la glaise avec l'argile faisant boudins et bouquets.
Dans le chaudron d'abord, il faut éclairer, mélanger comme on fait du fromage
Parfois ça se passe même sur du vide sur du rien sur de la matière inexistante
Parfois le grumeau, bouche ouverte en ébullition parle doucement, l'air attrape le son, le transporte
Le message inaudible parcourt fort et timidement le canal, explose dans le cocktail bruyant.
Mise en forme la pierre et tous ses angles aiguës, "je suis la pierre" blanche , mangeuse de lumière , sans
le faire exprès !
Tu es la pierre , regardez donc la pierre sus citée dans la valse des mots verbaux ou dansés.
Mise en forme de l'importance dans les voies tragiques de l’intérêt, nos voies tragiques !
Autour de la grande table de la compréhension, ouvrant largement les bras, les oreilles
Mais quelque chose échappe, anguille, dans ces quasiment rien, ces deux fois rien qui font beaucoup !
"Ma sœur que disiez vous ?" "ma sœur que diriez vous ?" , dans la paume de la main un mystère, un
parfum, une petite fleur a poussé avec un pétale droit, un pétale gauche et une envie de vivre.