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lettresdumonde
4 octobre 2019

Vanina (20)

... Elle était mon bonus et mon empyrée. Je posais ma main sur son épaule et l’autre sur son sein où son cœur battait comme un petit oiseau, un baiser sur le lobe de son oreille et une piqure d’abeille ! Vanina -Djemila pour faire l’amour ôtait facilement son hijab de sport, trois seconde un record, elle se jetait sur mon fort qui encore adore ses ressorts. Son vêtement de course duquel dépassait son beau clitoris m’excitait comme le cheval de Dieu. Vanina, si elle voulait finir première c’était pour se jeter dans mes bras. Vanina -Djemila était une Mélanie musulmane sortie tout droit de chez Brassens, avec ses chandelles pour point de fixation qu’elle introduisait à toute heure dans les balcons de nos lieux saints personnels. Elle enlevait ses petites chaussures rouges, elle n’avait pas joué chez Jean Rouch mais faisait migrer tous ses désirs sur mes revers accrocs. J’étais accrocs de ses balles, gonflées au désir, pics de nos émotions. Ô Vanina Djemila et tous ses nougats en cobra autour de moi qui me prenaient dans ses bras ! Nous rêvions de baiser dans la fournaise sous le regard d’un Dieu Priapique. Ses cheveux avaient la couleur de son pubis où j’avais un compte depuis dix ans. Je comptais avec les doigts en passant bien le pouce sur ses jeunes pousses et ses lèvres potelées et bien nourries. Nous nourrissions nos élans à la coupe de sang que nous avions échangé amoureusement dans nos tours jumelles, pour la vie, pour la vie et nous nous embrassions sous le regard de Marcelline, la coquine adorant les œufs à la coque qu’elle fournissait elle-même depuis ses poules personnelles. Cot cot cot faisait elle, accroupie, lâchant l’œuf qu’elle venait en sa bouche de lécher, l’œuf avait le goût des mouillures, de celles qui viennent par trop d’insistance, vous pointez ces pupilles enfiévrées. Nous caquetions Vanina Marcelline dont les mamelles limousines nous installaient pour longtemps sur les banquettes arrière ! Allez hop, un petit coup de Klaxon, Beauté divine Vanina, Djemila Marcelline. Du cou au sein en passant par ses glandes je ruminais mon amour alcalin dans ses étoiles Chloé alors qu’elle mangeait mes pénis royaux, elle disait fais-moi une place dans ta calotte, je disais oui ! nous absorbions en lampée c’était réglisse et cachou, pate à chou que ses hanches que j’attaquais en mie par tous les grains. Splendeur du buste et luxuriance que ses seins, quelles donc pilules a-t-elle croquées pour posséder cette poitrine idéale ? Idéalité à deux par corps, un sein plus un sein égal deux seins, l’un à côté de l’autre sans compétition, rondeur bien venue, importance des pentes douces et déboucher sur la cerise. Vanina avait deux jolis seins, idéalement placés entre sa bouche et son sexe, juste au milieu. Je l’avais rencontré au cap blanc nez sur le sentier du balcon d’Escalles devant la mer et ses calèches du nord, elle était seule et après une grimpette rude, elle s’était allongée sur le gazon, ses jumelles déposées à côté de ses genoux, le soleil comme un jeune fou, jouait avec ses yeux magnifiques qu’elle clignait. Je m’assis près d’elle, prés pour un petit repos sous le soleil, bien mérité après la longue balade sur la boutonnière d’Escalles, « bonjour » fit- elle, « bonjour » répondis-je allongé sur la prairie doucement au-dessus de son pull, ô vert, je m’appelle...

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