Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
lettresdumonde
13 juin 2019

Martine et le moine capucin

   Martine est une grande liseuse, quand elle pose son doigt sur ses lèvres, comme Emmanuelle de la divine noiseuse, et dont la poitrine explose débordeuse, elle cligne des yeux au désir vainqueur, et lui, vient brosser sa coque sans pâleur, sa poitrine suit le contour de ses mots, elle se penche, pointe les souriceaux, avec les tétons de Sophie Marceau, et ses sous-pentes à motifs carreaux, et que dire de l’or de sa toison qui absorbe le soleil à foison comme les Bermudes de frissons mangeant du bonheur les citrons. Martine court vers les bonbons de Saint Matthieu de la passion, elle jette son dévolu et son cul Sur le premier désirable venu, c’est une question d’envie et de littérature, se dandiner sur les phrases roulures celles qui portent leurs sexes en villégiature, tout le long des élégantes courbes matures, Martine dégouline de joie sensuelle, avec une humidité perce-neige, qui affleure aux contours de ses cuisses, offertes tel un vallon Suisse, Martine en phytosociologue, c’est bien l’aubépine  qu’elle préfère sur sa gorge câline mais c’est toujours vers les moines, qu’elle tourne ses rondeurs idoines, au prieuré de la tour d’églantine, elle montre ses aréoles au contrôle, l’abbé frontière palpe ses buvards papier et tamponne ses bourrelés effrontés. 

« Stop là ! Mon ami je suis venue pour Dieu, la largeur de son âme et son franc pieux, comme la deuxième fois au contact de son roux crucifix m’a transpercé en long en large et ça suffit »

« Dieu est occupé ma bien chère dame, Je saurai le remplacer dans le game, montrez-moi vos atouts et vos seins mille grammes, je prierai en curé rendant l’épithalame »

« Mon bien cher frère vos glandes pulpeuses, alors je les veux en dévoreuse, ôter les de leur gaine tabernacle, destination mon secret réceptacle ! »

100_1378 (2)

« J’y viens, j’y viens chère Martine, soulevez vos dentelles si fines, j’ai besoin de l’ensemble de vos escargots, et de la bave qui coule à flot » Martine est montée dans les tours du château en larguant tous ses bas couleur berlingot, or le moine comme un âne vers son foin lui emboite le pas en haut du chapiteau, Sous les cloches énormes du campanile, le moine a sorti ses forts volatiles, et Martine en pécheresse juvénile a happé le flambeau de l’Emile. Notre moine s’appelait Emile, amoureux fous mais frustrés des peaux épiles, Martine belle comme un arbre de vie, à pomper la sève à midi en le luxuriant jardin de son père, alors l’Emile s’est mis à genoux à cheval sur le stabat mater mou, pour prier les dieux du penseur à Fernande afin qu’il dure toute la nuit la couple sarabande, son goupil qui mesure huit cent mille onces infinies, ne servant plus depuis ses neuf ans de saint Sylvestre, éclabousse un sperme de bientôt vingt-cinq ans, un tonneau de Rabelais en entier, c’est effarant !

« Mon Dieu que vous êtes fourni, l’abstinence vous a duré cent mille ans, donnez-moi ce gland que je le câline encore un peu entre les dents, des larmes lui collent encore aux paupières et l’Emile avec sa Durandal fière se croit comme dans un jardin de golf du Bon Dieu à cent trous, il est vrai que Martine avait le label « mange beaucoup ». « Dieu merci, dit-il, de toutes ces galipettes » Il la câline assez cette belle dévoreuse, mais il sent encore son galimatias d’envies qui remplissent à nouveau son ciboire biblique alors il repart en campagne entre ses fesses, de profundis, ce sont les plus neuves du monde qui frictionne son sexe durcit qui se prend pour Dieu le père.

                                                                                            spacemat 

Publicité
Publicité
Commentaires
lettresdumonde
Publicité
Archives
Publicité