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lettresdumonde
2 décembre 2018

Emmanuel Georges Macron de Pompidou (15)

Il est temps au 13ème épisode de la saga d’EGMP à la tête de l’état français de brosser le portrait psychologique de l’animal politique comme on le fit, en son temps, ceux de Nicolas Sarkozy qui entama par le blingbling, le Fouquet’s et le navire Bolloré, François Fillon qui finit dans la honte, le mensonge et la délinquance, François Hollande qui commença par « le changement maintenant » mais un changement qui ne vint jamais (voir l’ancien blog depuis 2007 abrité par nouvelobs mais qui n’existe plus), tous ces portraits fins qui annonçaient clairement leurs chutes entre 6 mois et un an de pouvoir.

Le cinquième portrait pour la cinquième saison, celui de l’empereur Emmanuel Georges Macron de Pompidou  commençait pourtant bien, impeccable dans la mise en scène, presque aussi bien que le vieux père Mitterrand à la fin de l’autre siècle. C’est vrai qu’il avait la classe le petit jeune sur son tapis rouge, la France avait besoin de ça après la bourrasque décennale 2007-2017, les Français avait presque cru en une « République en marche » mais très vite on s’aperçut et il le dit que dans l’ombre nous avions l’armée de « ceux qui ne sont rien » ou presque et qui se réveillaient. 

Et puis au bout de quelques mois, EGMP qui s’était engouffré dans la brèche du vide Politique laissée depuis 30 ans, celui, le déconnecté total sorti tout droit de L’ENA et de chez Rothschild ou la course à la Finance, fait considérer l’Homme comme un vulgaire Pion à bouger, à son gré, selon les stratégies d’intérêts, à lui marcher dessus et PATATRA.  

N’était-il qu’illusion, poudre de perlimpinpin ce CHEF qui ne supportait pas la Faiblesse et ne voyait la vie que comme un éternel combat (Des armes, des armes - la poigne de l’autre Fort et tant aimé [au fond je suis si faible devant une telle figure, Ô Papa- pour toujours ! le fanatisme comme surcompensation du doute !).

Quelle Force, quel courage, quelles dents serrées dans la difficulté mais toujours, Ô quelle perversion du chef leader positif, tout seulement pour les Forts.

La Fatigue, la petite mort ? Jamais. Dormir est faiblesse, 4 Heures ça suffit ! Et quel Orgueil dans ces Ego monstrueux, dans ces ambitions démesurées que possédera tout tyran en puissance comme au Théâtre adolescent on joue à 15 ans. La Direction, la Direction, ô l’Amour de la direction !

Mais que fait-on au vrai sans intelligence sociale, sans capacité de vraie empathie sinon feinte comme on joue au mauvais théâtre encore :

Pleurer est faiblesse, n’est -ce pas ?

Quel déni du réel ! Papa, Maman que ne l’avez-vous pas aimé un peu plus cet enfant si fragile.

 

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