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lettresdumonde
25 septembre 2018

Djishin

   Pendant les tremblements de terre et les tsunamis Japonais et que TS Elliott rêvait que le « monde finira dans un murmure » le poète chinois Xij « songe encore à sa jupe verte partout. Partout il évite l ‘herbe d’un pas précautionneux ». Il s’adresse à la pâquerette et aux fourmis de Calvino qui rentrent dans la maison. Et Chronos le « Tasaturne »  Goya  mangeait ses enfants. La jeune fille passait dans le jardin du Luxembourg, dans la bouche une fleur qui brille et un refrain nouveau, une jupe verte, son cœur tremblait. « un champ de blé qui prenait racine sous la coiffe de Bécassine» et  « sous le lin qui dansait »  dans les yeux bleus de la mer, il la vit nu. La vie aux seins frissonnants de Sophie parcourait sa peau éblouissante, comme un fleuve fier de son voyage. La carte du tendre chemin où ses pas le conduisaient vers un âge de l’au delà pubescent, fleurissait en rivières lumineuses, et rapides torrents rafraîchissants. Tremblements de paupières à seize ans, premiers tsunamis adolescents. Djishin, les robes tournent à l’envers, Maryline, et les palombes tombent aux quatre coins du monde quand il regardait fixement  l’ origine qui n’appartenait plus à Gustave, encore moins à Lacan, ni même plus, on le sait maintenant à Johanna. Fasciné, rimbaldien prés des mouches bombinantes. E, noir cafetière de Lautrec, lèvres goulues dans le I du frisson : le I au cœur du sein, comme un accent sur la lune, tourbillon de Vincent dans l’ absinthe bleue. Djishin Geisha , estampes japonaises. Petit oiseau bleu au coin de la toile, délicate mésange sur ses lèvres posées comme un baiser d’ange sur Venus callipyge troublée .

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