Ma coloc va toute nue (47)

   Adélaïde Océane, Sylvie, madame Shik O Wen et sa petite troupe d'artistes, Julie Lazarilla la mairesse et Marlène Dioras son ajointe avaient passé une  nuit vivante et bien agitée. Océane

n'avait pas pris le premier train lundi, la fatigue avait gagné le début du match de la semaine qui arrivait.  Le Caipirinha bu à cinq heures faisait encore son effet. Sylvie était en forme, à six heures, elle s'était plongé dans Kjell Westo; elle tombait à l'instant sur un passage troublant " Tu peux poser ta main sur ma hanche si tu veux. Je lui ai obéi , j'ai posé ma main à l'endroit précis où passait l'élastique du maillot de bain, sur l'os, juste aprés le creux de la taille accentué par sa position sur le flanc ... - On ne continue pas ? a t-elle demandé; Je sens que tu le veux" Stella semblait aimer ce que je lui faisais car elle a porté ma main sur son sein droit . Quand j’ai touché son téton, il était dur et gros ».

Sylvie se demandait si ce souvenir n'était pas un fragment de son rêve car quand Marlène Dioras,  juste à côté se réveilla,  Sylvie avait nouveau envie de sentir si, sous sa caresse, les tétons de Marlène se durcirait ?

« Marlène, s’il te plait, j’aimerai laissé aller ma paume a enveloppé ton sein dans son entier » ce matin j'ai des fourmis érotiques dans les doigts qui me titillent d'avancer.

« Pourquoi pas fit Marlène « sous réserve que l’on continue " hier c’est madame Shiki qui a tout eu, rien n’a été équilibré, ses élèves en étaient malade ». On a l'impression qu'elles ne peuvent plus vivre sans.

"Bah c'est comme nous  , Adélaïde et moi et puis un petit peu Serge, mais il faut de la nouveauté et c'est vrai "ça passe toujours avant le reste"

"Nous avec Julie , ma patronne , c'est plus compliqué, c'est juste quand elle veut mais toujours à la mairie dans la salle des arts, sous le portrait ....